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D’après les études menées par le Gouvernement français, le parc bâti représente à lui seul 44% de la consommation énergétique, et 25% des émissions de CO2 du pays.

Une politique nationale ambitieuse amène à repenser la gestion immobilière dans son ensemble. Étant donné que ces ambitions ont pour enjeu la prise en compte des populations futures, la relation avec l’immobilier scolaire est d’autant plus forte et symbolique, qu’il est placé en première ligne et fait office de « tête d’affiche » des élus en place.

La rénovation énergétique représente l’un des défis principaux de ce patrimoine immobilier scolaire, la majorité des établissements datant de la période 1960/1975. Avec un parc de 81 millions de mètres carrés, ce sont d’énormes enjeux en termes de consommation énergétique et d’émissions de CO2 pour les collectivités.

Profitant de ces nouvelles exigences environnementales, de nombreuses campagnes et études ont été menées dans ces lieux, afin d’établir un état des lieux général, et définir un plan d’actions à mener afin d’améliorer non seulement le confort des occupants mais également diminuer les frais de fonctionnement des établissements ; la FRANCE commence seulement à réviser sa vision de l’espace au sein des établissements scolaires.

Le constat d’une première étude sur la QAI est plutôt amer : aucune des onze écoles visitées ( ! ) en 2001 par l’OQAI (Observatoire de la Qualité de l’Air Intérieur) ne respectait les renouvellements d’air réglementaires de 15m3/h/personne, les valeurs relevées étant comprises entre 0 et 7,7m3/h/personne !

Une autre étude menée et publiée sur la QAI de 108 écoles de 6 villes françaises par l’INSERM (Institut National de la Santé et la Recherche Médicale), montre qu’environ 30% des enfants sont exposés à des niveaux des principaux polluants atmosphériques supérieurs aux valeurs repères de l’OMS.

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D’après les études menées par le Gouvernement français, le parc bâti représente à lui seul 44% de la consommation énergétique, et 25% des émissions de CO2 du pays.

Une politique nationale ambitieuse amène à repenser la gestion immobilière dans son ensemble. Étant donné que ces ambitions ont pour enjeu la prise en compte des populations futures, la relation avec l’immobilier scolaire est d’autant plus forte et symbolique, qu’il est placé en première ligne et fait office de « tête d’affiche » des élus en place.

La rénovation énergétique représente l’un des défis principaux de ce patrimoine immobilier scolaire, la majorité des établissements datant de la période 1960/1975. Avec un parc de 81 millions de mètres carrés, ce sont d’énormes enjeux en termes de consommation énergétique et d’émissions de CO2 pour les collectivités.

Profitant de ces nouvelles exigences environnementales, de nombreuses campagnes et études ont été menées dans ces lieux, afin d’établir un état des lieux général, et définir un plan d’actions à mener afin d’améliorer non seulement le confort des occupants mais également diminuer les frais de fonctionnement des établissements ; la FRANCE commence seulement à réviser sa vision de l’espace au sein des établissements scolaires.

Le constat d’une première étude sur la QAI est plutôt amer : aucune des onze écoles visitées ( ! ) en 2001 par l’OQAI (Observatoire de la Qualité de l’Air Intérieur) ne respectait les renouvellements d’air réglementaires de 15m3/h/personne, les valeurs relevées étant comprises entre 0 et 7,7m3/h/personne !

Une autre étude menée et publiée sur la QAI de 108 écoles de 6 villes françaises par l’INSERM (Institut National de la Santé et la Recherche Médicale), montre qu’environ 30% des enfants sont exposés à des niveaux des principaux polluants atmosphériques supérieurs aux valeurs repères de l’OMS.

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« La mauvaise qualité de l’air intérieur pourrait à terme détériorer la santé allergique et respiratoire des enfants. Il est donc important de maintenir une bonne qualité de l’air en classe. Cela permettrait de limiter les risques de développer les signes cliniques de l’asthme et des rhinites. » (Source : INERIS)


Si la climatisation mécanique favorise l’apparition et la diffusion de symptômes allergiques (allergènes ?) dans les établissements scolaires (ou tout autre type de bâtiment d’ailleurs), il existe des équipements et techniques de ventilation plus naturels et économiques qui permettraient de lutter efficacement contre ce problème.

Une nouvelle loi, portant engagement national pour l’environnement a rendu obligatoire la surveillance de la qualité de l’air intérieur dans certains ERP.

Dès Janvier 2015, les établissements d’accueil collectif d’enfants de -6 ans et les écoles maternelles devront mettre en application cette surveillance ; cette dernière est à la charge du propriétaire de l’établissement. Pour les collèges, lycées et autres établissements du second degré, l’entrée en vigueur est portée à l’horizon 2020 ; mais ce n’est pas pour autant qu’il faut laisser traîner les choses en l’état.

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« La mauvaise qualité de l’air intérieur pourrait à terme détériorer la santé allergique et respiratoire des enfants. Il est donc important de maintenir une bonne qualité de l’air en classe. Cela permettrait de limiter les risques de développer les signes cliniques de l’asthme et des rhinites. » (Source : INERIS)


Si la climatisation mécanique favorise l’apparition et la diffusion de symptômes allergiques (allergènes ?) dans les établissements scolaires (ou tout autre type de bâtiment d’ailleurs), il existe des équipements et techniques de ventilation plus naturels et économiques qui permettraient de lutter efficacement contre ce problème.

Une nouvelle loi, portant engagement national pour l’environnement a rendu obligatoire la surveillance de la qualité de l’air intérieur dans certains ERP.

Dès Janvier 2015, les établissements d’accueil collectif d’enfants de -6 ans et les écoles maternelles devront mettre en application cette surveillance ; cette dernière est à la charge du propriétaire de l’établissement. Pour les collèges, lycées et autres établissements du second degré, l’entrée en vigueur est portée à l’horizon 2020 ; mais ce n’est pas pour autant qu’il faut laisser traîner les choses en l’état.

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QUALITÉ DE L’AIR : LES BONS POINTS DE LA VENTILATION NATURELLE

Sujet actuel, la qualité de l’air intérieur est un moteur d’innovation pour la société GENETIS. Nous souhaitons mettre à profit le développement d’une solution dédiée au milieu scolaire pour sensibiliser les maîtres d’œuvres des établissements scolaires sur cet enjeu majeur dans la conception du bâtiment.

Les prémices d’une évolution de la réglementation et des comportements concernant la QAI sont désormais en place ; chez GENATIS, nous avons pu anticiper ces évènements et mettre au point des équipements reposant sur un principe naturel afin d’améliorer l’environnement intérieur du bâtiment et agir directement pour le confort de l’occupant.

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QUALITÉ DE L’AIR : LES BONS POINTS DE LA VENTILATION NATURELLE

Sujet actuel, la qualité de l’air intérieur est un moteur d’innovation pour la société GENETIS. Nous souhaitons mettre à profit le développement d’une solution dédiée au milieu scolaire pour sensibiliser les maîtres d’œuvres des établissements scolaires sur cet enjeu majeur dans la conception du bâtiment.

Les prémices d’une évolution de la réglementation et des comportements concernant la QAI sont désormais en place ; chez GENATIS, nous avons pu anticiper ces évènements et mettre au point des équipements reposant sur un principe naturel afin d’améliorer l’environnement intérieur du bâtiment et agir directement pour le confort de l’occupant.

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Auparavant, ouvrir les fenêtres était un réflexe de bon sens pour aérer une pièce. Aujourd’hui, ce n’est plus le cas puisque les fenêtres des écoles restent fermées ; sont évoquées des raisons de sécurité pour les élèves, mais également des raisons économiques, la consommation d’énergie entraînant un coût de plus en plus élevée.

Alors que les établissements scolaires ne sont pour la plupart pas équipés d’un système de climatisation, ou que celui est plutôt vétuste et « énergivore », comment peut-on offrir aux élèves fréquentant ces établissements un environnement sain sans pour autant faire grimper la facture énergétique ?

La ventilation naturelle des locaux permet d’assurer un renouvellement de l’air intérieur et de maintenir un environnement agréable pour l’occupant. Profitant d’installations rendues obligatoires par la réglementation dans les ERP, telles que les ouvrants de désenfumage naturel, GENATIS a mis au point un automate intelligent permettant de réguler la température intérieure d’un bâtiment par l’utilisation de la ventilation naturelle journalière en fonction des conditions climatiques extérieures.

En adéquation avec la RT 2012, ce système intègre la notion de purge nocturne pour le rafraichissement et le renouvellement de l’air ambiant de la journée écoulée. Ce système est de plus complètement compatible avec une ventilation mécanique ou une climatisation

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Alors que les établissements scolaires ne sont pour la plupart pas équipés d’un système de climatisation, ou que celui est plutôt vétuste et « énergivore », comment peut-on offrir aux élèves fréquentant ces établissements un environnement sain sans pour autant faire grimper la facture énergétique ?

La ventilation naturelle des locaux permet d’assurer un renouvellement de l’air intérieur et de maintenir un environnement agréable pour l’occupant. Profitant d’installations rendues obligatoires par la réglementation dans les ERP, telles que les ouvrants de désenfumage naturel, GENATIS a mis au point un automate intelligent permettant de réguler la température intérieure d’un bâtiment par l’utilisation de la ventilation naturelle journalière en fonction des conditions climatiques extérieures.

En adéquation avec la RT 2012, ce système intègre la notion de purge nocturne pour le rafraichissement et le renouvellement de l’air ambiant de la journée écoulée. Ce système est de plus complètement compatible avec une ventilation mécanique ou une climatisation

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La solution INOPACK® WEB optimise la ventilation et la lumière naturelles, la protection solaire, grâce à son automate dédié et intelligent. Totalement paramétrable, il s’adapte au mieux au cahier des charges des usagers, pour tirer profit des éléments naturels dans la recherche d’économies d’énergie, en plaçant le confort de l’usager en premier lieu. Le système permet au gestionnaire de piloter de une à vingt quatre classes (ou autres) et de centraliser les informations de suivi via une adresse IP.

 

 

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Basée sur la technologie EnOcean®, le système repose sur des convertisseurs d’énergie miniaturisés, une électronique très basse consommation et une communication radio fiable :

  • Aucune maintenance nécessaire,
  • Module autonome en énergie,
  • Communication bidirectionnelle, sécurisée et standardisée,
  • Portée radio de 30 à 300 mètres,
  • Réduction de 15 à 30% du coût d’installation,
  • Réduction de 85% du coût d’exploitation,
  • Solution devenue un standard avec la norme ISO/IEC 14543-3-10 (IEC) (solutions à ultra basse consommation et récupération d’énergie),

Le système INOPACK® WEB a été conçu pour permettre une installation rapide et économique sur tout type de bâtiment. En effet, la mise en œuvre ne nécessite pas une réhabilitation profonde du lieu. La technologie radio permettra d’éviter le passage de câbles et le percement des cloisons éventuelles, ce qui rend son installation plus simple, et possible même en milieu occupé.

Les ondes radio :

La technologie EnOcean® ayant recours aux ondes radio, GENATIS souhaite informer que celles-ci sont bien en-dessous du seuil de référence légal afin d’assurer un environnement sain dans le bâtiment.

  • Les ondes ne sont pas émises en continu,
  • La puissance d’émission est de 0,000013 W/m² seulement, soit 73 fois moins importante que le seuil légal
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La technologie EnOcean® ayant recours aux ondes radio, GENATIS souhaite informer que celles-ci sont bien en-dessous du seuil de référence légal afin d’assurer un environnement sain dans le bâtiment.

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